directeur de l’IUT de Ngaoundéré.
Par B.A
On connait les ravages de la drogue et autres substances enivrantes dans la société camerounaise en général, et à l’université en particulier. L’université est un milieu clos, un milieu où vous apprenez à devenir des gens importants dans la société. Mais le constat qui a été fait, depuis quelques années, c’est l’accroissement des situations d’étudiants sous l’emprise de la drogue et d’autres substances enivrantes. Un constat fait à l’université de Ngaoundéré en général et à Ngaoundéré en particulier. Les addictologies sont diverses et prennent de plus en plus de place dans la vie de certains étudiants. C’est un phénomène inquiétant au regard des conséquences potentielles ou réelles. Une analyse profonde n’a pas été faite sur ce qui motive les étudiants à s’accrocher aux drogues, mais l’on suppose que souvent, ils sont sous l’effet de la pression, et parfois, sous l’effet des problèmes sociaux. Ils pensent trouver une sorte d’exutoire dans la drogue, mais ce n’est qu’une illusion.