Ministre camerounais de l’Education de base. A l’Assemblée nationale, face aux députés le 24 novembre 2021, il s’est exprimé sur l’importance des APEE dans les écoles.
Par CT
Il y a aujourd’hui, une certaine confusion qui s’est installée. Les ministres en charge de l’éducation savent que les associations des parents d’élèves sont un regroupement dans une école qui respecte les textes régissant le secteur scolaire et les associations qui y évoluent. Il s’agit des lois de 1990 et celle d’orientation scolaire. Nous devons les suivre. Il y a aujourd’hui des problèmes à résoudre. Il n’y a pas de plafonds, c’est pourquoi, afin d’éviter les abus, ma collègue des enseignements secondaires avait appelé, lors de sa visite à Douala à ne pas dépasser 25 000 FCfa. Nous répondons aujourd’hui que les APEE doivent continuer à exister parce que les partenaires à l’éducation sont le gouvernement, les parents et les partenaires au développement, selon les normes de l’Unesco. Les trois concourent à l’éducation. Il fallait éclairer les députés sur ce mode de fonctionnement.